Author: jphilippe

L’hotel de Tréville rénové

22 juillet 2018 jphilippe Actualités 0 Comments

L’hotel de Séré – Tréville, dénommé « l’Oustal de Tréville », et situé au 23 rue des Chapeliers dans le coeur de Foix, a retrouvé sa façade historique du XVI ème siècle, transformée au XVIII ème. Cette rénovation est due à l’architecte Pascal Robert-Cols et à l’entreprise Sele de Balma en Haute-Garonne. La Mairie de Foix a soutenu ce chantier qui vient de se terminer. La pierre de Vernajoul, qui a servi aux encadrements, est mise en valeur sur une façade qui retrouve ses formes d’origine. Quelques photos parlent plus qu’un discours :

 

Les marchés de Foix

13 février 2018 jphilippe Actualités 0 Comments

Chaque vendredi, la ville de Foix reçoit son marché. Les étals se succèdent sur les Allées de Villote et sous la Halle aux grains, mais aussi autour de la Halle Saint-Volusien ainsi qu’à la Place Violet. Si les Allées de Villotte sont plutôt consacrées aux marchandises diverses comme les vêtements, chaussures, ou ustensiles ménagers, la Halle aux Grains présente des produits frais, volailles, charcuteries, fuites ou escargots. Il faut se rendre au coeur de la vieille ville (à deux pas de l’Oustal de Tréville) pour trouver aux Halles Saint-Volusien le marché traditionnel avec ses fruits et légumes, ses fromages du terroir et autres produits locaux.

On ne vient pas seulement chercher sur le marché de Saint-Volusien des fruits et des légumes (beaucoup sont bio et en circuit court), on vient aussi pour le contact. Car beaucoup de Fuxéens ont pris l’habitude de s’y donner rendez-vous, et ne rechignent pas à prendre un verre au Café de la Halle une fois leurs courses faites.

Je signale que ce marché de Foix est actuellement en lice dans le cadre du concours «Votre plus beau marché», organisé en partenariat avec TF1 et La Dépêche du Midi. Les informations se trouvent ici.

Eugène, génie du bistouri

30 décembre 2017 jphilippe Actualités 0 Comments

Eugène de Séré ? Ce médecin militaire du second Empire est l’inventeur du bistouri électrique. Il est né à Foix, au 23 rue des Chapeliers, dans l’actuel « Oustal de Tréville ».

Un médecin éclairé et passionné

Confronté d’abord à la guerre de Crimée, puis à la terrible Campagne d’Italie, Eugène voit combien les services de santé sont dépassés et travaillent avec des moyens d’une autre époque. C’est ce qui va le conduire à explorer les applications de l’électricité à la chirurgie. Il a peu de soutien pour conduire ses recherches, à l’exception notoire du Maréchal Vaillant, Ministre Secrétaire d’Etat de la guerre, qui l’autorise à consacrer du temps à sa passion. C’est ainsi qu’il conçoit le couteau galvanique particulièrement adapté aux nécessités des hôpitaux militaires, des ambulances d’infanterie et de la cavalerie. Il perfectionne ensuite son invention avec le couteau galvano-caustique hémostatique à chaleur graduée, considéré comme l’ancêtre du bistouri électrique. Il complète le tout de l’anse coupante, adaptée à divers polypes ou autres tumeurs pédiculées.

La reconnaissance des grands chirurgiens

Auguste Nélaton (1807-1873), chirurgien de l’Empereur, celui qui prôna les pansements alcooliques et les premières photographies opératoires, soutint les inventions d’Eugène et les utilisa lui-même. Il opéra un malade présentant un cancer récidivant du bras gauche ce qui provoqua une hémorragie en raison de la chaleur utilisée de 1.500 degrés. Cet événement fit travailler Eugène sur l’échelle graduée en platine permettant de redescendre à 600 degrés, température hémostatique. Le célèbre Paul Broca (1824-1880) dit de la méthode d’Eugène de Séré qu’elle « était digne de prendre place parmi les plus précieuses innovations de la chirurgie contemporaine ». Grâce au couteau galvanique, Adolphe Félix Richard (1822-1872), professeur suppléant de Nélaton à l’hôpital des Cliniques, sectionnait en novembre 1860 un énorme polype nasopharyngien et Jean Nicolas Demarquay (1814-1875) parvenait en 1862 à extirper un cancer gangrené et récidivé du bras gauche, enlevant pour deux cents grammes de tissu sans incident infectieux.

Une invention qui fait date

En 1862, deux thèses de médecine sont consacrées en l’espace de quelques mois à l’invention d’Eugène : « De l’emploi du feu en chirurgie en particulier du cautère actuel, du cautère galvanique et du couteau galvano-caustique hémostatique à chaleur graduée » par le docteur J. Blanchet ; « De la galvano-caustique, du couteau galvano-caustique et de l’anse coupante à échelle graduée de Monsieur Eugène de Séré » par le docteur B. Duplomb. C’est Joseph Frédéric Charrière (1803-1876), prestigieux maître coutelier d’instruments de chirurgie, qui assura la fabrication du couteau galvano-caustique présenté à l’Exposition Universelle de Londres de 1862 et Jules Cloquet (1790-1883), célèbre chirurgien anatomiste, passionné par les innovations scientifiques, qui assura la présentation de cet instrument révolutionnaire le 23 mars 1863 à l’Académie des Sciences.

Sous le regard moqueur de ses collègues

Quinzième enfant d’une famille de 17 (le climat d’Ariège est tonifiant), Eugène avait un frère ainé médecin, Louis Joseph (1823-1895) auquel il doit sans doute son goût pour l’innovation, mais aussi une fort mauvaise réputation. Louis Joseph, en effet, pratiquait l’hypnose, si bien que l’autorité militaire le considérait comme un charlatan. De façon générale, Eugène vivait mal la pesanteur administrative et hiérarchique de l’Intendance militaire. Son esprit créatif avait du mal à s’exprimer dans les rangs où ses travaux étaient incompris. En témoignent deux extraits d’un rapport d’inspection : « Le plus grand service que l’on peut rendre à Monsieur de Séré serait de le nommer Médecin major de 2e classe dans les hôpitaux éloignés de Paris, à condition de ne lui confier aucun service de responsabilité médicale » ; ou encore « Monsieur de Séré, que je connais depuis longtemps, sacrifie trop souvent les obligations de son service à la recherche d’études aventureuses ».

En fait, la hiérarchie militaire n’a jamais apprécié les activités secondaires du médecin. En 1869, son chef de service trouve que Monsieur de Séré « s’occupe beaucoup trop de sciences accessoires », et son chef de corps « qu’il sert d’une manière satisfaisante, et s’occupe beaucoup de pisciculture ! ». C’est qu’à cette époque, Eugène de Séré est déjà sur autre chose : un abri destiné à protéger les poissons, désigné sous le nom d’aquariséré et qui lui vaudra une médaille de bronze lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1867… Ah ! Ces innovateurs !

(ici, l’article l’article publié en 1988 par Alain SÉGAL et Jean-Jacques FERRANDIS dans HISTOIRE DES SCIENCES MÉDICALES – TOME XXXII – No3 – 1998)

Ariège Recherchée

26 décembre 2017 jphilippe Actualités 0 Comments

Le site AIRBNB vient de dévoiler son enquête sur les destinations préférées des voyageurs français. Quelles destinations auront la cote en 2018 ? D’après les données de réservations pour le premier semestre 2018, les destinations qui connaissent la plus forte croissance auprès des voyageurs français sont les suivantes :

  • Cardiff,  UK – 637% de croissance
  • Bilbao, Espagne  – 531%
  • Aveyron, France – 355%
  • Région du Lac de Genève,   France/Suisse –    252%
  • Ariège, France – 244%
  • Madère, Portugal – 203%
  • Tromsoe, Norvège – 202%
  • Strasbourg, France –  182%
  • Haute-Corse, France 181%
  • Manche, France –   170%

Saluons le résultat obtenu par l’Ariège qui se classe en 5° position des plus fortes croissances parmi toutes les destinations, et en 2° position pour la France seule.

Retrouvez la totalité de l’article ici : https://press.atairbnb.com/fr/airbnb-revele-ses-tendances-de-voyage-pour-2018/

Au-delà du Cassoulet

24 décembre 2016 jphilippe Actualités

Ce ne serait qu’une question de terres et de pluies, de vents et de soleil, le Sud-Ouest fournirait déjà des produits de belle qualité. Or, cette grande région fait mieux encore, car au-delà d’un bon climat, elle a aussi un bon esprit. Peut-être trouvez-vous les gens de ce pays rugueux et querelleux, prompts à sortir la rapière du fourreau ? Il est vrai qu’ils aiment bien en découdre, et que la vie leur donne mille occasions de le faire, surtout s’ils les provoquent un petit peu. Mais cela ne les empêche pas d’avoir du cœur. Ils savent par exemple reconnaître et apprécier chez l’adversaire l’art de la riposte ou de l’esquive. On peut être bourru et respecter son rival, ne pas profiter de la mêlée pour lui mettre le doigt dans l’œil ou le piétiner quand il tombe à terre. Ce tempérament à la fois combattif et bienveillant s’exprime dans la vie et le travail. Il stimule les entrepreneurs, attise leurs ambitions, et finalement suscite sur ces terres déjà fécondes des producteurs d’exception.

Cette complexité un peu chaotique s’exprime à merveille dans le cassoulet, installé comme le porte-drapeau culinaire du Sud-Ouest, mais qui est aussi, par métaphore, le symbole des situations embrouillées, indéchiffrables et déroutantes pour les allochtones, dont ce pays a le secret. Pourtant, la vraie spécificité de la région n’est pas ce plat, pas plus d’ailleurs que les autres préparations (la garbure d’Oloron, la mounjetado de Foix ou l’aligot de l’Aubrac…) pour lesquelles j’ai un grand respect. La vraie spécificité, c’est le produit. C’est le produit brut, sans accommodement ni fricotage. C’est le produit tel qu’il sort des mains du producteur. Parce que le Sud-Ouest est moins une terre de gastronomie qu’une terre de produits sincères.

En cette période d’agapes, je ne peux que recommander quelques spécialités qui relèveront votre table de saveurs puissantes. Je pense aux fromages d’Ariège (le Bethmale ou le Moulis), ou de brebis des Pyrénées. Je pense au jambon de porc noir (de Bigorre, Gascon ou Basque), aux sardines de Saint-Jean-de-Luz, au foie gras du Gers et des Landes, ou, pour les plus fortunés, au caviar d’Aquitaine ou aux truffes de Dordogne… Pas question d’en dresser une liste complète, ni de celle d’ailleurs des meilleurs producteurs. Chacun aura plaisir à enrichir les siennes à l’occasion de voyages et rencontres. Souhaitons seulement que cette excellence, riche d’une extraordinaire diversité, soit davantage reconnue et valorisée. Les Italiens et les Espagnols profitent aujourd’hui de leurs efforts dans ces domaines, et le Sud-Ouest n’a pas encore pris la place qu’il a toute légitimité à revendiquer…

Une fois n’est pas coutume, un peu de pub pour saluer le travail remarquable réalisé par Géraldine Sillègue et son équipe. Je vous recommande leur site qui mérite la visite : il s’agit de Tauzietnco (https://www.tauzietnco.fr). Les produits seront livrés chez vous, frais, sans rupture de la chaîne du froid, fournis par des exploitants ou artisans au  fort tempérament et aux talents indiscutables. Un circuit court qui s’appuie sur une logistique éprouvée et efficace. Ci-dessous l’accès au site et le lien sur l’émission de Télé-matin qui lui a été consacré.


Conso – Le réveillon des producteurs

La tour ronde du château de Foix

16 août 2016 jphilippe Actualités

Le château de Foix en Ariège est un témoin précieux de l’architecture militaire du Moyen-Âge. Il présente trois tours dont la plus récente, construite au début du 15° siècle, n’est pas  carrée, comme les deux autres, mais ronde. Haute de 32 mètres, d’un diamètre de plus de 12 m, armée de murs de près 3 mètres, elle avance fièrement sur la ville.

La tradition en attribue la construction au célèbre Gaston Fébus, comte de Foix-Béarn. En réalité, il ne l’a pas connue, mais il l’a sans doute voulue et même financée. On dit que cette tour ronde aurait un objectif plus politique que défensif. On y entre en effet par une porte en rez-de-chaussée, et non par l’étage comme dans les tours militaires. Les fenêtres sont larges. La pierre utilisée pour la construction est un grès importé, et n’est pas comme habituellement tirée du rocher lui-même. De plus, les 5 étages offrent des salles hexagonales qui chacune présente un plafond à clé de voute, une cheminée, et des latrines avec évacuation. Cette tour ronde est donc considérée comme une construction d’apparat, destinée sans doute à affirmer la puissance des comtes de Foix-Béarn et à rassurer la population sur leurs moyens et sur leur protection.

boulets

Mais cette tour n’est pas ronde pour rien. À la fin du 14° siècle, les techniques de guerre changent, et le vieux boulet de pierre est remplacé par le boulet de métal. Ce boulet creux d’une quinzaine de kilos est tiré par la couleuvrine, petit canon à tube à la fois long et fin qui utilise les nouvelles poudres arrivées en Occident à la fin du 13° siècle. Alors que le boulet de pierre avait tendance à éclater lors de l’impact contre les murs, le boulet de métal est résistant, et comme il est creux, il imprime une forte secousse qui ébranle la paroi et en détruit très vite le liant. La nouvelle tour de Foix a été conçue pour lui résister. Parce qu’elle est ronde, le boulet a de fortes chances de rebondir et peu de la percuter à pleine puissance. Parce qu’elle est doublée d’une autre structure de pierre, avec entre ses parois extérieures et intérieures une épaisse couche de terre, elle absorbe efficacement les vibrations. C’est donc une construction innovante qui témoigne de l’adaptation des bâtisseurs aux techniques nouvelles.

On cherchera en vain un début de commencement de fissure dans les voutes de cette tour majestueuse vieille de 600 ans. Toujours aussi solidement dressée sur son rocher, elle démontre que les idées qui résistent au temps sont celles qui conjuguent innovation et élégance…

Concert sur places à Foix, les 26 & 27 août

16 août 2016 jphilippe Actualités

Il s’agira de la première édition de « Concert sur Places », qui a vocation à se prolonger les années suivantes…

Marbres d’Ariège

16 août 2016 jphilippe Actualités

Les Pyrénées sont réputées depuis longtemps pour la qualité et la beauté de leurs marbres. L’Ariège en fournit une diversité assez remarquable. Même si la plupart des carrières ariégeoises ne sont plus exploitées, on constate un regain d’intérêt pour cette spécialité qui fait l’objet de randonnées touristiques ou des visites organisées. Une des innovations du tourisme consiste justement à mettre en valeur et à la portée du public des traditions ou des savoir-faire auxquels peu de monde prêtait attention.

Parmi les marbres ariégeois, le fleuron est le « Grand Antique ». Il est solennel, d’un noir profond parcouru de grandes veines blanches. Un contraste étonnant qui le classe depuis des siècles parmi les plus beaux marbres du monde. Son exploitation, dans une carrière située en Couserans, près de Moulis, au lieu-dit Aubert, avait cessé en 1948. Elle a repris depuis quelques mois. Le Grand Antique est un marbre très dur, difficile à travailler, mais particulièrement robuste. On le trouve à Istanbul à Sainte Sophie, à Rome dans les Basiliques Saint-Pierre, Sainte-Marie Majeure, Sainte-Cécile, à Venise à Saint-Marc, à Paris dans l’Eglise Saint-Louis des Invalides (les deux colonnes de l’autel de la chapelle et le tombeau de Joseph Napoléon), à Londres à la base du monument Saint Peter de Westminster, à Versailles dans le Salon de Diane…

Le « Vert d’Estours »  (carrières de Seix, 530m) est aussi un des marbres ariégeois les plus réputés. Griotte à fond blanc ivoire, parsemé d’amandes blanches tirant parfois vers le jaune, veiné de fines lignes vertes parallèles et ondulantes. On en découvre la carrière en empruntant la route de Guzet, puis en prenant au hameau de Moulin Lauga la direction d’Estours. Cette marbrière a repris son activité il y a une dizaine d’années avec des conditions d’extraction par galeries respectueuses de l’écosystème. On retrouve ce marbre, renommé depuis l’époque romaine, dans de nombreux édifices dont la villa Chiragan (Martres-Tolosane), Saint Bertrand de Comminges, les Cloîtres de la Cathédrale Saint-Lizier et des Augustins à Toulouse.

Toujours sur la commune de Seix, au lieu-dit du Pont de la Taule, on extrait un Rouge Griotte. On trouve sur ce même territoire un  Bleu Turquin (gris bleu, strié de blanc et de noir), le Blanc de la vallée d’Esbintz, le Gris et le Cervelas violet blanc. Tous ces marbres, identifiés sous le nom d’origine générique « du Pont de Taule, d’Estours et de Couflens », ont connu une renommée et une diffusion bien plus importante que ce que l’on pensait sous l’Empire romain et dans les siècles qui ont suivi.

Sur la commune de Saint-Lary-En-Couserans (1070m) on exploite « Les Quatre Saisons », dont les couleurs rappellent celles printanières de la Fleur de Pêcher, mais évoquent aussi bien l’Automne ou l’Hiver (prendre le chemin forestier de Ruech jusqu’au lieu-dit Le Piche). À Montégut en Couserans (660m), au lieu-dit Sarrat de Barrousse, on extrayait le « Noir de noir », un Noir rare et profond. A Balacet-Uchentein (1200m) était produit  l’Escalette, beige Teinté de rosé, lié de vert ou de rouge. À Cazavet (455m), la carrière du bois d’Aliou fournissait un marbre fin, à dominante grise, taché de noir et de rouge. À Riverenert (600m) les marbrières du Touron, de Pujau, des Cravives, produisaient des Griottes verts, tachés de rouge. Plus à l’Est, à Esplas-de-Sérou et Castelnau Durban, on trouve les carrières de Tartein (760m), et celles d’Espiougue (610m), avec des Griottes à pâte rose et amandes blanches.

Pour la plupart, ces sites sont accessibles. Témoins des grandes heures de l’Ariège, ils deviennent prétextes à des promenades et découvertes dans un massif pyrénéen aujourd’hui beaucoup moins peuplé et beaucoup plus « naturel » qu’il ne l’était il y a deux siècles. Ce thème du marbre est en soi nouveau. Il permet de visiter des carrières, découvrir des sites superbes, mieux connaître les pierres, apprendre des techniques (voir, à la maison du Haut Salat à Seix, la marbrerie à énergie Hydraulique), et comprendre les modes de vie et échanges commerciaux depuis l’ère romaine. Il y a aussi une chose que tous ces marbres nous apprennent, c’est que ce sont les impuretés qui font la beauté. Sans elles, toutes les pierres seraient blanches. Le monde n’est intéressant que par ses mélanges et ses imperfections…

2ème journée internationale de la danse en Ariège

27 avril 2016 jphilippe Actualités

Les 28 et 29 Avril, en hommage au danseur Jerôme Buttazzoni qui parrainait l’association La danse au pluriel disparu à l’été 2015, la mairie de Foix abrite une exposition photo dédiée à celui-ci dans le cadre de la 2ème journée internationale de la danse en Ariège. Celle-ci tiendra place le jeudi 28 Avril.

Le lendemain, Vendredi 29 Avril, aura lieu dans la salle de l’estive de Foix la 2ème journée internationale de la danse en Ariège organisée par l’association La danse au pluriel. Y sont attendus des artistes du Ballet du capitole et de la compagnie toulousaine Hors Sols.

Les conteurs des forges de Pyrène

30 mars 2016 jphilippe Actualités

Le dimanche 10 Avril, durant l’après-midi, des dizaines de conteurs retrouvent les visiteurs des célèbres forges de Pyrène, à Montgailhard.

Entre 14h00 et 19h00, les conteurs mèneront leur auditoire dans le monde de l’imaginaire au travers de divers récits narrés au sein des forges de Pyrène. En marge de l’événement, l’association les Amis des Forges tiendra une buvette servant boissons chaudes et fraîches. L’association, comptant plusieurs centaines d’adhérents, a pour but de préserver et promouvoir le patrimoine culturel de l’Ariège, notamment grâce à l’aide de bénévoles.

Les forges de Pyrène

Avenue de Paris

09330 MONTGAILLARD

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